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Le confort thermique correspond à un état d’équilibre thermique et hydrique entre le corps humain et son environnement. Il dépend de l’activité physique, du métabolisme, de l’habillement et de la sensibilité (aspect psycho-sociologique) de chaque individu, d’une part, et de la température de l’environnement (air, parois), des mouvements d’air et de l’humidité, d’autre part. De plus, le comportement de l’individu aux conditions d’ambiance tend à réduire l’inconfort, ce qui est aujourd’hui
décrit par l’approche du « confort adaptatif ».
Ainsi, les notions de confort et d’inconfort sont très délicates à caractériser et de nombreuses méthodes ont été proposées. Néanmoins, par des méthodes statistiques, il est possible de définir des conditions de confort thermique acceptables et de les représenter dans un diagramme de l’air humide selon divers paramètres. En
simplifiant et pour des conditions d’humidité situées entre 40 et 80 %, les limites de température couramment admises pour cette zone vont de 18 à 27 °C.
Plutôt que d’évaluer le confort thermique, il est possible d’évaluer l’inconfort (déséquilibre thermique) pour chaque zone thermique du bâtiment, par exemple sous la forme d’une somme temporelle des écarts de sa température par rapport à une température limite de confort. Cet indicateur est exprimé en degrés-jour d’inconfort. En pratique, l’inconfort dû à la chaleur et celui dû au froid, dont les causes et les moyens de prévention sont différents, sont évalués par les indices
d’inconfort chaud DJC et froid DJF.
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